A propósito de muito do que foi escrito sobre as fotografias da Clara Pinto Correia, lembrei-me do segundo tomo do "La force des choses" da Simone de Beauvoir, editado em 1963, que começa assim:
"Les jeunes femme ont un sens aigu de ce qu'il convient de faire et de ne pas faire quand on a cessé d'être jeune. « Je ne comprends pas, disent-elles, que passé quarante and on se teigne en blond; q'on s'exhibe em bikini; q'on coquette avec les hommes. Moi, quand j'aurai cet âge-là...» Cet âge vient: elles se teignent en blond; elles portent des bikinis; elles sourient aux hommes. C'est ainsi que je décrétais à trente ans: « Un certain amour, après quarante ans, il faut y renoncer.» Je détestais ce que j'appelais « les vieilles peaux » et je me promettais bien, quand la mienne aurait fait son temps, de la remiser. Cela ne m'avait pas empêchée, à trente-neuf ans, de me jeter dans une histoire. Maintenant, j'en avais quarante-quatre, j'étais reléguée au pays des ombres: mais, je l'ai dit, si mon corps s'en accommodait, mon imagination ne s'y résignait pas. Quand une chance s'offrit de renaître encore une fois, je la saisis."
Enquantos formos os nossos próprios algozes, a "chuva não vai parar"! E tantos anos depois...
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